Ingénieur en nanotechnologie
L’article que j’écris aujourd’hui porte sur un métier qui m’intéresse, ingénieur en nanotechnologie, le spécialiste de l’infiniment petit ! Les nanotechnologies et leurs molécules se logent aujourd’hui dans de nombreux secteurs : automobile, électronique, aéronautique, nouveaux matériaux…
Ce métier demande les compétences suivantes :
• Maîtrise des logiciels de modélisation et de simulation, et de la programmation informatique
• Utilisation de logiciels de CAO/DAO (Conception/Dessin assisté par ordinateur) et CFAO-TGAO (Conception et Fabrication Assistées par Ordinateur et Technologie de Groupe Assistée par Ordinateur), de progiciels de Gestion Intégrée.
• Connaissance des techniques de laboratoire
• Conduite de projet
• Connaissances en droit de la propriété intellectuelle
• Efficacité à communiquer avec son environnement de travail direct, les clients ou les fournisseurs
• Capacités managériales (management)
• Maîtrise technique de l’anglais.
Le métier consiste donc à :
• Concevoir des solutions nano technologiques pour faire évoluer des produits ou des procédés
• Réaliser des tests et essais, analyser les résultats
• Déterminer les mises au point du produit ou du procédé
• Apporter une assistance technique aux différents services (ou aux clients).
Ce métier m’intéresse beaucoup car il lie l’informatique, la physique, la chimie et la biologie, domaines que j’aime bien et où je réussis bien.
Voici trois exemples d’universités qui donnent de très bonnes chances de réussite et qui ouvrent une voie possible pour ce métier :
– Le MIT (université américaine), qui est surement le meilleur choix mais qui demande des notes excellentes et de partir en Amérique.
– Polytechnique, grande école française, est le meilleur choix pour les français n’ayant pas les moyens de se payer les frais de scolarités du MIT et/ou ne parlant pas l’anglais couramment. Cette école est cependant très sélective.
– Phelma, École nationale supérieure de physique, électronique, matériaux. Très bonne école d’ingénieurs française située à Grenoble, elle est une bonne alternative à Polytechnique. Elle est moins sélective que Polytechnique.
Et voilà, j’espère vous avoir fait découvrir un métier d’avenir qui, je pense et je l’espère, sera très demandé grâce à l’avancée de la nanotechnologie et de la biologie.
Hubert Maël, Seconde 03